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n'ai-n ACTUEL ou rnoarùus roranrous 17
me, et non dans d’autres cas, ni chez d’autres races ; et
‘ doptant le point de vue de Frazer qu'on trouva plus
‘pé encore dans le volume de Durkheim, Loisy admet
aun rapport étroit entre le tctémisme etfilc culte des
s; il admet aussi un rapport mais que nie Durkheim
le totémisme et le culte des animaux. Le dernier cha-
- est uno critique de la théorie du sacrifice de communion
ique d'abord élaborée par Robertson Smith, théorie que
avait signalée sans la reprendre a son compte,quo Durk-
ma développée dans un sens sociologique, mais que Loisy
_ absolument: a le sacrifice même n'est pas un élément
n totémisme, et l'on pourrait’ dire que le totémisme comme
l exclut le sacrifice n. Le seul cas, dit-il, où la confusion serait
ssible, A savoir l'ensemble de rites sacrifioiels exécutés par
ñi jour fabriquer des masques et idoles-poupées on peau
,‘m,,« est un sacrifice qui appartient aux us et coutumes
un peuple totémiqua, qui tient au totémisme de ce peuple,
ais qui en tant que ‘sacrifice, se rattache a la religion qui a
grandi dans le totémisme, non au totémisme meme, ni aux
i incipes fondamentaux de l'institution totémiquo n '.
t Dans l'analyse de Totemism and Eæogamy par Marcel Hé-
bert ’ en rencontre une remarque ingénieuse. Après avoir dit
ue la lai de participation de Lévy-Druhl ne donne pas une
plication réelle de la mentalité des <4 primitifs n, il ajoute :
Cette explication doit remonter jusqu’au principe analogique
Ide l'esprit qui, chez le sauvage, n’étant pas contrebalancé par
des notions scientifiques, s’applique jusqu'à l'excès... Les ani-
maux, las végétaux sont à l'origine considérés parle sauvage
comme possédant dos qualités précieuses, plus intenses ou
meilleures que les siennes propres. Voila un élément qualitatif.
1l prend le dessus dans la conscience du sauvage, lo tote-
1. Lac. p. ne.
. Man-cal "Æborl, Nota m Talamùm and Eæogamy, Cenobium Lugano,
«pu-oct. ma, m. a pm, 1o pagel.
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